Historienne et historienne de l'art, enseignante à l’Université libre de Bruxelles, vice-présidente de l’Académie royale de Belgique et co-directrice du Groupe d’études sur le XVIIIe siècle, Brigitte D’Hainaut-Zveny travaille sur les arts d’Occident durant la première modernité (XVe-XVIIIe siècles). Ses recherches portent, plus particulièrement, sur les images religieuses qu’elle aborde dans une perspective d’anthropologie historique (Les retables d’autel gothiques sculptés dans les anciens Pays-Bas. Raisons, formes et usages, Académie royale, 2008 ; Des retables et des hommes, Académie royale, 2017). Elle travaille également sur les productions artistiques et symboliques du XVIIIe siècle (Rocaille-Rococo, Études sur le XVIIIe siècle, 1991 ; La Place des Martyrs, CFC Éd., 1994 ; Figures et formes du goût chinois, Études sur le XVIIIe siècle, 2009) et s’autorise quelques incursions dans l’art contemporain (Ici… regarde. À quoi rêvent les statues ?, La Lettre volée, 2012 ; Bernard François et le bijou contemporain, La sculpture de Th. Bontridder (en cours)).
Roland Mortier, Hervé Hasquin
Le Rocaille et le Rococo sont-ils des styles au sens où l’entend l’histoire et plus particulièrement l’histoire de l’art ? Telle est la question à laquelle ce livre s’efforce de répondre en croisant les regards de différents contributeurs. plus d'information
Sylvie Peperstraete, Monique Weis
Ce volume des Problèmes d'histoire des religions est dédié au Professeur Alain Dierkens, médiéviste spécialisé dans l’étude du religieux et directeur de la collection de 1991 à 2012. plus d'information
Alain Dierkens, et al.
Cet ouvrage explore la performance des images en termes d’efficacité, de perfomativité, de puissance, d’agentivité, ou encore de performativité. plus d'information
Kim Bethume, Jean-Philippe Huys
Au fil des pages, le lecteur part à l'exploration des espaces bruxellois au XVIIIe siècle. plus d'information
Brigitte D'Hainaut-Zveny, Jacques Marx
Les contributions réunies dans ce volume contextualisent le goût chinois en Occident et les vecteurs de transmission de cette séduction. Elles dévoilent également l'intérêt et la qualité des « chinoiseries » réalisées dans nos régions au XVIIIe siècle. plus d'information