Cet ouvrage permet à tout professionnel de la comptabilité communale qui manie déjà la matière avec aisance de retrouver en un seul volume l’ensemble des outils qui lui sont nécessaires pour traiter de manière efficace et efficiente les opérations comptables. Lire la suite
Si le premier ouvrage de comptabilité communale (2007) permet d’assimiler le fonctionnement et l’organisation de la comptabilité budgétaire et de la comptabilité générale des communes ainsi que les liaisons entre les deux comptabilités, ce second ouvrage suppose une connaissance de base de la comptabilité communale. Il regroupe les plans comptables des régions wallonne et bruxelloise.
Il comprend, d’une part, les principaux textes réglementaires de la Région wallonne et de la Région de Bruxelles-capitale, et, d’autre part, sous forme de tableaux synoptiques, les plans comptables nécessaires à l’enregistrement des opérations en comptabilité budgétaire et en comptabilité générale et les tables de correspondance qui mettent en vis-à-vis les codes économiques et les comptes généraux en rappelant les comptes nécessaires et en indiquant les schémas des écritures comptables. Nous présentons en réalité deux formes de tableaux selon un classement sur la base des codes économiques budgétaires et selon un classement sur la base des comptes généraux. Nous avons enfin repris dans cet ouvrage les schémas des travaux de clôture, des acquisitions d’investissements du service extraordinaire, et du financement de ces investissements ainsi que des outils de concordance et de contrôle de ces comptes annuels. Cet ouvrage s’adresse dès lors en premier lieu aux receveurs et aux services financiers des communes.
Introduction
1. Rapports sociaux au temps et aux imaginaires urbains
Les cadres perceptifs de l'espace et du temps
Les imaginaires sociaux de la vitesse et de la lenteur
Une diversité d'incarnations
Entre idéologie et utopie : grammaticalisation des imaginaires
DYNAMIQUE I. - LE DESSEREMENT DANS LA VILLE MODERNISTE (1955-)
Une esthétisation et une grammaire de la vitesse liée à l'automobilisation de la société
2. Fétichisation du roadscape bruxellois
La dépendance à un ordre social qu'il renforce
L'historicité radicale de l'origine de l'infrastructure d'automobilité
La matérialité transcendante de l'infrastructure d'automobilité et la relation active de l’objet fétiche au corps vivant d’un individu
Conclusions
3. Aménager la lenteur aux abords du roadscape. Flâner dans les espaces ponctuels de destination et de lenteur
Les nouvelles galeries commerçantes. Ségrégation spatiale de la vitesse et de la lenteur par zonage vertical
Une grammaire moderne de la lenteur commerciale
Conclusion
4. Aménager la lenteur dans la ville historique. Décélération et montée des enjeux patrimoniaux et touristiques
Dispositifs réglementaires : interdiction de stationnement et de circulation dans le coeur historique
Dispositifs matériels : évolution du revêtement de la ville historique
Cheminements piétons et articulation avec le roadscape : le quartier de la Grand-Place et le réaménagement de la zone urbaine Mont des arts – cathédrale
Conclusion
Conclusions de la Dynamique I
DYNAMIQUE II. - DU RESSEREMENT DANS LA VILLE POSTMODERNE (1968-) AU DESSEREMENT DANS LA VILLE FUTURE (2000-)
Une esthétisation et une grammaire du ralentissement automobile et de la lenteur accélérée liée au déploiement des mobilités actives
5. Valorisation de smobilités douces dans un contexte du proche : le « retour vers un dialogue avec l'environnement urbain »
Grammaire de l’imaginaire de la lenteur
La fabrique de l’enchantement de l’expérience urbaine
Les limites spatiales de l’enchantement. Conflits autour du ralentissement automobile
Conclusion
6. De l'animation urbaine à la pollution sonore. Évolution de la perception sonore de l'automobilité et dispositifs pour un « calme » décéléré
Exacerbation de la brutalité de l’infrastructure d’automobilité
Un continuum sonore participant de l’animation urbaine
Évolution du cadre réglementaire de la pollution sonore automobile
Un certain « paysage des activités » valorisé : entre ambiance « enrichie » et automobilité « assourdie »
Horizon politique d’une ville « apaisée » et réenchantée
Conclusion
7. Fétichisation de l'infrastructure cyclable
Évolution du réseau des infrastructures cyclables
La dépendance des infrastructures cyclables à un ordre social qu’elles renforcent
Historicité radicale de l’origine de l’infrastructure cyclable
Une vitesse à nouveau émancipatrice. La matérialité transcendante de l’infrastructure cyclable et la relation active de l’objet fétiche au corps vivant d’un individu
Conclusion
Conclusions de la Dynamique II
LES CONCLUSIONS DE LA RECHERCHE
Bibliographie