Maïté Maskens est docteure en anthropologie et maître de conférences à l'Université libre de Bruxelles. Ses intérêts intellectuels hétéroclites l'ont porté à travailler sur le pentecôtisme, le genre, la migration, l’amour, la bureaucratie et l’utopie. Elle est l’auteure d’une monographie (Cheminer avec Dieu : pentecôtismes et migrations à Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2013), de plusieurs numéros thématiques dont voici quelques exemples "Mariages et migrations : l’amour et ses frontières", Migrations Société, vol. XXV, n° 150, 2013 ; avec Isabelle Jabiot et Carine Plancke : "L’amour en sciences sociales, les sciences sociales en amour", Émulations, n° 18 ; avec Ruy Blanes : "Ethnography and the Mutualizing Utopia", Journal of the Anthropological Society of Oxford, Special Issue VIII.2, 2016 ; avec Ruy Blanes, Alex Flynn and Jonas Tinius, "Micro-utopias: anthropological perspectives on art, relationality and creativity", Cadernos de Arte e Antropologia, vol. 5, n° 1, p. 5-20, 2016) et d’une douzaine d’articles dans des revues internationales à comité de lecture telles que Cambridge Journal of Anthropology, HAU : Journal of Ethnographic Theory, Etnografic, Canadian Journal of African Studies, Cahiers d’études africaines, L’Espace Politique, Autrepart, Archives des sciences sociales des religions et de nombreux chapitres d’ouvrages.
Maïté Maskens
À partir d’une ethnographie fournie et détaillée, ce livre se donne pour ambition de décrire et analyser les formes spécifiquement religieuses d’intégration dans la société d’installation d’acteurs euro-africains et euro-latino-américains. plus d'information
Natacha Chetcuti-Osorovitz, et al.
En septembre 2015, un nouvel acteur est apparu sur la scène des études de genre : STRIGES. Cette structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l’égalité et la sexualité constitue une des équipes fondatrices de la Maison des Sciences Humaines de l’ULB. plus d'information