Annemie Schaus est professeure ordinaire à l'ULB. Elle a été successivement directrice du Centre de droit public, Doyenne de la Faculté et Vice-rectrice à la politique académique. Elle est spécialisée en droit international des droits de l'homme. Ses recherches et enseignements portent sur les relations entre le droit international et le droit interne et les droits et libertés. Elle a créé, en 2015, une clinique des droits de l’homme qui rencontre un franc succès auprès des ONG et des étudiants. Elle coordonne une ARC "Strategic litigation" dans la lutte contre l’impunité et la pauvreté. Annemie Schaus est également avocate au barreau de Bruxelles et active dans de nombreuses associations de défense des droits de l’homme (notamment ECCHR basée à Berlin).
Olivier Corten, Annemie Schaus
L’hypothèse de travail de cette introduction critique est l’assimilation du droit positif belge à une « idéologie », c’est-à-dire à un « système (possédant sa logique et sa rigueur propre) de représentations (images, mythes, idées ou concepts selon les cas) doué d’une existence et d’un rôle historique au sein d’une société donnée ». plus d'information
Natacha Chetcuti-Osorovitz, et al.
En septembre 2015, un nouvel acteur est apparu sur la scène des études de genre : STRIGES. Cette structure de recherche interdisciplinaire sur le genre, l’égalité et la sexualité constitue une des équipes fondatrices de la Maison des Sciences Humaines de l’ULB. plus d'information
Pascal Delwit, José Gotovitch
Depuis l'ancien régime, les « partageux » ont inquiété sans relâche aristocrates, bourgeois et petites gens. « Sans Dieu », anarchistes, socialistes, communistes, trotskystes, marginaux : du XIXe siècle à nos jours, les peurs se sont relayées, cumulées, renvoyées parfois l’une à l’autre, œuvrant au niveau du politique et de l’imaginaire. plus d'information